la tentation de l’arrière salle

L’air tiède du bar flottait dans une pénombre où les rires étouffés et le cliquetis des glaçons semblaient lointains. Marie, la quarantaine triomphante avec ses seins généreux moulés dans un chemisier transparent, effleura l’épaule de Jason, le barman aux muscles tendus sous son tablier. Ses doigts parcoururent sa nuque, ses ongles suivirent la courbe de son cou tandis qu’elle murmurait des mots mielleux qui firent frissonner ce corps de dix ans plus jeune que le sien. Leurs souffles se mêlaient, la respiration entrecoupée par un désir palpable.

Les doigts de Jason se faufilèrent sous sa jupe, effleurant ses cuisses lisses et fermes jusqu’à rencontrer une toison taillée au rasoir. La texture soyeuse du sexe de Marie, dénudé de tout poil superflu, attira son regard avant qu’il ne s’agenouille pour la toucher de sa bouche. Ses lèvres glissèrent sur son clitoris dressé tandis que ses doigts s’enfonçaient dans ses fesses écartées avec une brutalité tendre. Marie gémit, sa main agrippant les cheveux du barman pour le guider vers un plaisir dont il savait désormais qu’il pouvait tout à la fois le rassasier et l’anéantir.

La tension monta quand Jason lui arracha son chemisier, dévoilant ses seins pleins qui rebondirent sous ses halètements. Il se mit à genoux pour aspirer un mamelon avant de plonger sa bouche entre les cuisses de la femme, léchant chaque repli avec une avidité animale. Marie arquait son dos, ses fesses frôlant le ventre du barman tandis que ses propres doigts s’enfonçaient dans les cheveux de Jason pour l’inciter à continuer. La chatte de Marie ruisselait de désir ; Jason la but avec un appétit insatiable, son souffle chaud chatouillant chaque repli.

Lorsque le barman sortit ses doigts goulus et les introduisit dans l’anus serré de Marie, elle se cambra en gémissant. Ses cris se muèrent bientôt en pleurs d’extase quand il s’enfonça en elle avec sa queue durcie par un désir violent. Leurs corps se frottèrent avec une frénésie grandissante jusqu’à ce que Jason lui montre ses doigts couverts de salive et de sueur pour les glisser dans son cul, tandis qu’il entrait et sortait en elle avec des mouvements rudes mais précis. La femme gémissait à chaque pénétration, sa chatte s’ouvrant sous le rythme infernal de ses assauts.

Le désir se transforma alors en un élan sauvage quand Jason plaqua Marie contre la porte de l’arrière-salle, son sexe dur et gonflé entrant et sortant avec une rapidité démentielle. Ses mains s’enfoncèrent dans ses seins généreux tandis que leurs halètements se mélangeaient à des cris de plaisir. Marie étouffa un gémissement contre l’épaule du barman, son ventre vibrant sous la cadence infernale.

Jason lui arracha sa jupe, dévoilant une chatte rasée qui brillait sous ses coups de reins. Il se mit à genoux pour avaler son sexe entier, l’étirant dans un acte obscène, puis il recula pour le masturber avec violence, ses doigts glissant sur la peau tendue. Marie cria en sentant sa queue s’enfoncer dans son cul avant qu’il ne se retire et qu’il ne lui introduise deux doigts dans le vagin, étirant ses parois déjà dilatées.

La femme gémit quand il sortit pour la pénétrer à nouveau avec son sexe, ses cris de jouissance retentissant dans l’obscurité de la pièce. Elle serra les cuisses autour de lui pendant qu’il se retirait et que son sperme jaillissait en longues pulsations chaudes sur son visage.

Marie était à genoux, sa bouche ouverte pour recevoir le liquide salé tandis que Jason éjaculait. Ses seins oscillaient avec une beauté sauvage quand elle se redressa, la chatte encore ouverte et brillante de plaisir. Leurs souffles mêlés résonnaient comme un murmure animal, leurs corps ensanglantés par l’excitation.