Le hall d’arrivée de l’aéroport respirait la chaleur humide des corps pressés contre les murs, le bruit des valises traînées et les éclats de rires étouffés. La femme mariée s’appuyait contre un pilier, ses grosses cuisses dissimulées sous une jupe cintrée, ses seins généreux qui gonflaient son chemisier en mousseline blanche. Ses talons aiguilles semblaient accrocher l’espace comme des épingles de dentelle. Un étudiant en sociologie, vêtu d’un jean délavé et d’une chemise à manches courtes mal boutonnée, passa devant elle sans la regarder. Elle sentit son sexe se contracter au souvenir de ses mains calleuses caressant un dos hâlé.

Ses ongles effilés griffèrent sa jupe pour l’ajuster, révélant une culotte transparente où son clitoris dressé pointait entre des plis humides. Elle se pencha vers le comptoir d’information comme si la question était capitale : « Excusez-moi monsieur… auriez-vous vu un sac à dos en cuir noir ? ». Son haleine sucrée de menthe froide chatouilla les narines du jeune homme, tandis que son regard noirci par le mascara glissait vers ses lèvres entrouvertes. « Je ne crois pas », répondit-il avec un accent étranger. Sa langue effleura son incisive supérieure comme pour réprimer un rire. Elle recula d’un pas, sentant son sexe se serrer en imaginant sa bouche sur ses seins.

Un soir tardif, il l’aperçut de nouveau dans le hall des départs, ses hanches ondulant sous une robe fluide rose pâle. Son ventre plat et les courbes généreuses de ses cuisses étaient tendus vers lui comme un appel muet. Elle le croisa à nouveau près du bar, son regard se perdit dans l’entrejambe de sa jupe plissée, sa main effleurant inconsciemment son sexe sous la soie de sa culotte. « Je voudrais un Martini sec », commanda-t-elle avec une voix qui fit vibrer les oreilles du serveur. Son regard glissa vers le jeune homme assis à côté d’elle, son pantalon de toile blanche tendu par sa queue en érection.

Il s’installa face à elle dans un café du terminal. Ses doigts effilés tapotaient la table tandis que ses yeux balayaient le ventre nu de l’étudiant sous une chemise ouverte, son sexe durcissant sous les regards. « La sociologie… c’est passionnant », dit-elle en se penchant vers lui, ses seins appuyant sur son bras. Le jeune homme sentit la chaleur de son souffle, la texture rugueuse de sa culotte collée à son sexe humide. Une goutte de sueur coula entre ses seins pour disparaître sous le bord de la table.

La nuit tomba sur l’aéroport. Sa chatte rasée était trempée, son clitoris dressé comme un fruit mûr. La main experte de l’étudiant plongea dans son fourreau, ses doigts massant ses lèvres gonflées jusqu’à ce que le sperme éclate en gémissements étouffés. Ses seins tombèrent vers lui pour caresser sa joue, tandis qu’elle le suçait avec des hoquets de plaisir, avalant chaque goutte de son jus dans sa bouche chaude et humide.

Elle se pencha contre le mur glacé d’un toilettes désertées. Son cul rebondi palpitait sous ses doigts, les fesses écartées par ses paumes tandis que la queue rugueuse du jeune homme plongeait vers son anus dilaté. Il lui enfonça un doigt dans le cul humide pendant qu’il suçait sa chatte trempée dehors et renifla l’odeur salée de son vagin, ses lèvres écartant les fesses pour lécher son clitoris tendu.

La lumière blanche du plafond trembla au-dessus de leur lit improvisé. Son cul se souleva vers lui avec des cris étouffés tandis qu’il le martelait d’une queue brûlante, les doigts pressant son sexe gonflé et durci jusqu’à ce que son sperme jaillisse dans sa bouche, ses seins secoués par les hoquets de jouissance. Elle s’agenouilla à quatre pattes sur le tapis usé du hall, sa chatte écartée par des doigts calleux, le jeune homme glissant un pénis dur et gonflé entre ses fesses pour la baiser en même temps qu’une langue chaude lui léchait les plis de son trou de balle.

Il l’entraîna dans une cabine d’essayage vide. Ses seins frôlaient le mur glacé tandis que sa chatte s’ouvrait sous des doigts rugueux, ses fesses écartées par les paumes humides de sueur. Une queue gonflée et brûlante plongea dans son cul pendant qu’une main experte pénétra sa chatte avec deux doigts, le jeune homme geint comme un enfant tandis que son sperme éclatait en giclements chauds.

Ses seins se balançaient sous les coups de queue brutaux d’un autre étudiant. Elle gémissait à l’idée de sa chatte rasée et humide, ses fesses dilatées par un pénis dur comme du bois. Une langue râpeuse la lécha entre les cuisses tandis qu’un doigt glissait dans son cul pour la masturber jusqu’à ce que son clitoris éclate en une salve de gémissements étouffés.

La lumière froide de l’aéroport trembla sur ses seins généreux et sa chatte nue, ses fesses dilatées par un pénis brûlant pendant qu’elle suçait un sexe dur comme le bois d’un arbre. Une queue rugueuse plongea dans son cul humide tandis que des doigts glissèrent entre ses jambes pour la masturber jusqu’à ce que sa chatte gicle en gémissements étouffés, son anus contractant autour de l’intrus.

Elle se pencha vers lui, ses seins appuyant sur son bras, tandis qu’un doigt rugueux pénétra son cul humide et ouvert. Un deuxième doigt le rejoignit pour la dilater lentement pendant que sa chatte s’humidifiait sous les attouchements experts de l’étudiant. Ses cris étouffés résonnèrent dans un couloir désert, tandis qu’un pénis dur et gonflé remplissait son cul.

Le froid du plafond se mêla à la chaleur des doigts calleux qui la masturbulaient entre ses cuisses. Sa chatte s’ouvrit sous leurs attouchements, ses seins secoués par des hoquets de plaisir alors que le sperme éclatait en giclements sur son ventre.